Brasserie "Le Parfait"

Charles resta comme subjugué par la beauté de cetet femme si étrange et mit un certain emps à repondre..Un trop long opur Jacques qui s'éclairssit la voix comme pour le rappeler à l'ordre.
_"Vous savez,je suis ici pour le travail...Très peu pour la distraction.les eul moment de détentes que je puisse m'accorder sont bien bref et peu interressant.pas de visite,pas de bals,pas de grandes fêtes...Juste du repos."

De Laraimondit commença alors à se préoccuper d'avantage du mari de cetet charmante dame.

_"Et votre mari il ne travaille pas pour les Allemands déjà ? il n'a pas acces à certains privilèges et ne peut pas vous en faire part ?"

Le café brulant serré entre le pouce et l'index,Charles perdu son regard dnas la mousse blanche qui dépassée de la tasse.

"Si... Une fois par semaine, une fête est organisé dans une petite propriété."

Elle place sa tête délicatement entre ses mains.

"C'est un peu bizarre, car, au milieu de la soirée, tous les hommes s'eclipsent dans le Salon pour Hommes, et laissent leurs femmes entre elles pour revenir plus tard. Alors imaginez mon désapointement: je me retrouve encore une fois toute seule, entourée par des femmes ne parlant presque pas un mot de français. Il est clair qu'on ne peut guère avoir de grandes discussions avec elles. La dernière fois, et heureusement, il y avait un petit garçon de cinq ans avec lequel j'ai pu jouer à la balle... Pendant deux heures."

Elle soupire. Sa voix retombe dans la gravité.

"Mais franchement ces soirées mondaines me montent à la tête. Je préférai un peu d'aventure en journée..."

Charles garde encore le silence quelques secondes: le déroulement de la soirée que vient de lui décrire la jeune femme blonde est quasiment identique à celui des franc-maçons.

Se préservant de sourir à l'entente d'une telle révélation,Charles regarda la belle blonde droit dnas les yeux,un sourir de compation au coin des levres.

_"Oui,je vois...La vie en Bretagne n'est donc pas des plus interressantes pour vous.
Mais ce lieu,dans lequel vous faites des soirées mondaines,elle est loin d'ici ? Car vous savez,moi je ne suis pas de la région mais là d'où je viens je vis également dans une propriété...Une propriété viticole et les belle bâtisse j'adore ça..."

Buvant de nouveau son café.

_"..Voir à quoi elle ressemble serait très palpitant, et puis ça vous sortira un peu de votre quotidien non ?"

Le visage du franc-mçon s'illumina devant cette idée, et il laissa échapper un grand sourir en direction de la jeune femme face à lui.

P.S : Normal qu'après avoir mangé et but ma 'faim' sur mon perso n'est pas évolué ? Wink

Elle fait une petite moue.

"Oui, un peu loin. Mais vous savez ce n'est qu'une maison. Grande, mais rien de plus banal. Et puis je n'ai pas finit mon café."

Elle en boit une gorgée.

"Et vous non plus."

Et se tournant vers Jacques.

"Et vous Monsieur ? Vous n'êtes pas non plus d'ici ?"

"Oh si, oui. Je suis breton. Mais actuellement en vacances."

Le coup d'oeil qu'il jetta à Charles signifiait qu'il ne savait pas quel langage tenir. Heureusement pour lui, car la femme changea de sujet.

"Mais quelle impolie fais-je... Je ne me suis pas présentée. Je m'appelle Chantal..."

Charles se mit alors doucement à rire devant le visage embarrassé de la jeune blonde.Un grand sourir se dessina alors sur son visage ainsi qu'un petit mouvement de tête de compassion.

_"Non ce n'est rien,ne vous inquiétez.Ravi de faire votre connaissance...Chantal..."

Malgrès déjà des présentations faites quelques minutes plus tôt au comptoir, le franc-maçon tendit de nouveau sa main par dessus la table en direction de Chantal afin de se présenter à son tour.

_"Julien Garbeau..."

Buvant quelque gorgées de son café assez rapidement et regardant Jacques d'un regard très appuyé.

_"Il faudrait penser à se remettre en route.Je n'ai pas envi de visiter les vielles batisses dans la pénombre et de perdre une journée de plus, les vacances sont assez rares comme ça.... / Regardant alors la blonde / ...Que diriez-vous de nous accompagner ? Vous pourriez ainsi, sur le chemin, me montrer la maison où vous avez passé le soirée que vous venez de me raconter, et puis nous pourrions ainsi faire plus ample connaissance."

"Vous y tenez à cette maison, hein ! Et bien... D'accord, nous pourrions nous balader un peu..."

Jacques se présente ensuite en donnant le nom de Lionel.

"Mais permettez que j'aille mettre une tenue un peu plus appropriée à une sortie en plein mois d'hiver."

Elle s'éloigne, pour monter les escaliers. Pendant ce temps, le serveur vient débarrasser les couverts sans rien dire. Une fois celui-ci éloigné, et qu'ils ont rejoint le pas de la porte, Jacques profite de l'absence de Chantal pour dire le fond de sa pensée.

"C'est risqué. De la prendre avec nous... Je vois pas vraiment où vous voulez en venir avec elle."

Il regarda Jacques avec un grand sourire.

_"Lorsqu'elle nous aura montré où se trouve cette batisse on pourra transmettre les coordonnées à la Francs Maçonnerie afin qu'ils soient au courant qu'une société secrete,je pense à nos ennemis de la société de Thulée,se réunit dans ce lieu!"

Jettant un rapide coup d'oeil à l'escalier par lequel était aprtie Chantal de manière à vérifier qu'elle ne soit pas déjà de retour.

_"...Une opération coup de poing contre eux de façon à les affaiblir ne serait pas de mal je pense et puis il est toujos bon de savoir où se trouve nos ennemis pour mieux les contrer et s'en méfier !

Maintenant elle a aussi certainement ces entrées dans des lieux où nous nous serions refoulés directement, donc elle peut etre un atout sans même qu'elle s'en rende compte...Il faudra bien jouer le coup c'est tout."

Charles se passa la main dans les cheveux tout en sentant sa chevalliere s'accrocher lors du passage de sa main sur son crâne.

_"D'ailleurs,je ne sais plus par où chercher pour avancer.J'espere que Simon aura trouver quelque chose à Paris sur ce satané livre..."

"Je l'espère aussi." Jacques affichait maintenant un sourire, heureux de voir que Charles avait plus que des idées derrière la tête.

Des pas dans les escaliers les firent se retourner. Il y avait là un gamin, au pantalon troué, tenu par des bretelles et marcel taché de marmelade. Il avait l'air de s'être réveiller quelques minutes plus tôt, et mâchait quelque chose dans sa bouche.

"C'est vous, les gens qui cherchent un guide de forêt ?"

Charles y vit le petit que lui avait conseillé le barman.

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